Vacances d’été, farniente à la plage (concept somme toute relatif une fois parent), visite à la famille, l’été a été riche en chouettes moments ! L’un d’entre eux était tout particulièrement adorable : les retrouvailles de loulou avec les ptits cousins-cousines. La maison était pleine de vie, ça c’est le moins que l’on puisse dire ! Parmi les réjouissances, on a découvert la draisienne, et c’était pour le coup top car on a pu essayer 2 modèles (la Puky et la Chicco), de quoi voir celle avec laquelle loulou était à l’aise. Parce qu’une fois les cousins partis, évidemment il fallait une draisienne (aouuuum). Et là, stupéfaction totale : il en existe des tonnes !!! Allez, je suis sympa, je partage avec vous comment choisir votre draisienne. Go.
Comment choisir une draisienne ?
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Pour les novices (non, non, n’ayez pas honte, je ne voyais pas du tout de quoi il s’agissait avant cet été), une draisienne est grosso modo un vélo sans pédale. Et si j’étais un peu sceptique quant à l’utilité de cet énième jouet / accessoire, j’ai vite changé d’avis. Oui, comme d’hab, je me suis pas mal documentée, et il s’avère que mine de rien, la draisienne est une sacrée alliée dans l’apprentissage de l’équilibre et du développement psychomoteur de nos loulous. Ils gagnent en confiance, en autonomie, apprennent à anticiper et à éviter les difficultés ou les obstacles, c’est déjà pas mal non ? Sans oublier qu’avant tout, bah ils s’éclatent !
Parmi la foule de draisiennes proposées (et attention, il faut faire le tri je vous assure), plusieurs points sont à prendre en compte, essentiellement selon votre enfant. A commencer par sa taille : pour sa sécurité et son confort, ses pieds doivent pouvoir reposer à plat sur le sol une fois assis sur la selle, ses jambes à demi fléchies. Du coup, privilégiez les modèles qui offrent une selle réglable, voire même avec un guidon réglable. Prenez également en compte le poids de la draisienne, qui doit être assez légère, mais pas trop, afin que l’enfant puisse se l’approprier. Là, ce sont les critères de base. Libre à vous ensuite de choisir des options supplémentaires, là c’est propre à chacun. Pour ma part, j’aime bien les modèles avec une plateforme où l’enfant peut poser ses pieds une fois lancé, on se rapproche de la sensation en vélo, de quoi les préparer à la prochaine étape. Et oui, car selon les spécialistes, la draisienne permet de passer plus facilement au vélo, en squeezant même la fameuse étape des petites roues !
Les accessoires à ajouter à la draisienne
S’il vaut mieux attendre que votre enfant soit à l’aise avec la marche, certains fabricants proposent des draisiennes à partir de 1 an. Mais globalement, il est conseillé d’attendre ses 20 mois, l’enfant est plus à l’aise et va plus profiter de sa draisienne. Il va apprendre à pousser sur ses jambes, les muscler, et améliorer son équilibre.
Un des points sur lequel j’ai pas mal planché concerne les freins. Certains modèles en sont déjà équipés, ce qui est plutôt intéressant pour une utilisation plus longue de la draisienne, et pour d’autres il peut être possible de les rajouter ultérieurement (vers 3 ans à priori). Et oui, car business oblige, même si c’est parfois pratique, on peut ajouter des accessoires : panier pour trimbaler Mister doudou ou une gourde d’eau, super sonnette qui tue, béquille… On customise à fond ! Par contre, s’il est bien un accessoire sur lequel il ne faut pas faire l’impasse, c’est le casque. Mine de rien, l’enfant peut prendre pas mal de vitesse, et on est encore dans l’apprentissage de l’équilibre. Donc, on limite la casse, on prévient d’éventuels (probables) bobos, et on équipe comme il se doit notre super coureur cycliste !
En tout cas, le choix est là. Il y en pour tous les âges, tous les budgets, tous les goûts. Niveau design, on trouve en effet des modèles en bois, en acier et en aluminium. Là, c’est à vous de choisir !